Démocratie Participative https://demopart.store Le site le plus censuré d'Europe Wed, 06 Dec 2023 14:39:17 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9 Abonnez-vous au compte X / Twitter de Democratie Participative ! /abonnez-vous-au-compte-x-twitter-de-democratie-participative/ Wed, 06 Dec 2023 14:39:17 +0000 /?p=84275 La rédaction
Démocratie Participative
06 décembre 2023

 

Nous avons créé un compte officiel sur X/Twitter.

@demopart88

Nous n’avons aucune idée du temps qu’il tiendra. Deux heures, deux jours, cela dépend de l’équipe de Musk.

Le but est essentiellement de s’amuser et de s’informer aux dépends des gens qui veulent nous nuire collectivement. Les juifs, mais pas seulement, même s’ils sont très (très) toxiques.

N’hésitez donc pas à nous suivre et à nous faire suivre en faisant connaître le compte à vos amis, sur Twitter, par email, etc..

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Pas d’émission cette semaine /pas-demission-cette-semaine-27/ Wed, 06 Dec 2023 13:38:59 +0000 /?p=84272 Emission
Démocratie Participative
06 décembre 2023

 

À la semaine prochaine.

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Les candidats à la citoyenneté allemande doivent désormais jurer fidélité à Israël /les-candidats-a-la-citoyennete-allemande-doivent-desormais-jurer-fidelite-a-israel/ Wed, 06 Dec 2023 13:22:46 +0000 /?p=84263 La rédaction
Démocratie Participative
06 décembre 2023

Tous les individus qui souhaiteront obtenir la citoyenneté allemande devront jurer serment de fidélité à la race juive et à son état, Israël.

Les candidats à la naturalisation dans l’État de Saxe-Anhalt, dans l’est de l’Allemagne, doivent désormais déclarer leur soutien au droit à l’existence d’Israël. 

C’est l’application pratique de la proclamation officielle de l’Allemagne comme colonie juive.

D’abord par Merkel, puis, après le 7 octobre, par Scholz.

DW :

Pour l’Allemagne, le passé est toujours présent. Le génocide des juifs d’Europe et d’autres groupes pendant l’ère nazie a un impact profond sur son existence aujourd’hui, influençant sa politique et façonnant sa vision du monde.

Ce n’est pas « sa » vision du monde, mais celle des juifs.

Et ce « génocide » est une grossière exagération fabriquée par les Alliés et les Soviétiques en 1945.

Lorsqu’il s’agit d’Israël, que le mouvement sioniste a fondé en tant qu’État juif trois ans seulement après l’assassinat systématique par l’Allemagne de six millions de juifs pendant l’Holocauste, l’État allemand considère qu’il a une « responsabilité particulière ». Son engagement envers Israël est plus qu’un simple objectif politique ; il s’agit d’un élément fondamental de l’existence même de l’Allemagne d’aujourd’hui.

La sécurité et l’existence d’Israël sont donc la « Staatsräson » (raison d’État) de l’Allemagne. L’ancienne chancelière Angela Merkel a utilisé ce terme lorsqu’elle s’est adressée à la Knesset, le parlement israélien, en 2008. Son successeur, Olaf Scholz, l’a répété à plusieurs reprises depuis que les attaques terroristes du Hamas, le samedi 7 octobre, ont tué quelque 1 300 Israéliens, dont une écrasante majorité de civils.

« En ce moment, il n’y a qu’une seule place pour l’Allemagne. C’est aux côtés d’Israël« , a déclaré M. Scholz lors d’un discours prononcé jeudi devant le Bundestag, le parlement allemand. « C’est ce que nous voulons dire lorsque nous affirmons que la sécurité d’Israël est la raison d’État de l’Allemagne. »

Cette pseudo « raison d’état » n’est pas le résultat d’une révélation divine, mais l’effet direct de la destruction de l’Allemagne libre par l’aviation anglo-américaine et les hordes communistes de Staline.

Il n’y a rien de « moral » là-dedans, uniquement un pays vaincu et occupé dont le gouvernement fantoche répète les serments d’allégeance à l’égard de la juiverie mondiale.

Le gouvernement d’Élisabeth Bornstein n’est pas différent.

En termes immédiats et concrets, cela signifie que l’Allemagne rejoint le chœur des alliés qui soutiennent le siège israélien de la bande de Gaza, que les Nations unies ont qualifié de violation du droit international.

Israël contrôle l’accès à Gaza depuis qu’il a retiré unilatéralement ses colons en 2005. Le Hamas, un groupe islamiste militant désigné comme organisation terroriste par l’Allemagne, l’Union européenne, les États-Unis et d’autres pays, dirige cette zone densément peuplée depuis 2007.

Israël a régulièrement bombardé Gaza, où vivent 2,2 millions de personnes, dont environ la moitié sont des enfants, en réponse aux attaques du Hamas.

Lors d’une réunion de l’OTAN à Bruxelles jeudi, le ministre allemand de la défense, Boris Pistorius, a confirmé qu’Israël demandait des munitions pour sa marine.

« Nous allons discuter avec les Israéliens de la manière dont cela va se dérouler », a-t-il déclaré aux journalistes.

Un soutien matériel et militaire plus important pourrait être envisagé, et les responsables allemands ont déclaré qu’ils répondraient aux demandes d’Israël au fur et à mesure qu’elles seraient formulées.

Comme tout État, Israël a le droit de se défendre contre toute attaque, dans les limites du droit international. L’Allemagne n’est pas le seul pays à soutenir le droit d’Israël à le faire. Toutefois, en tant que « Staatsräson », ce droit bénéficie d’une désignation particulière, qui laisse une large place à l’interprétation.

« En Allemagne, on n’a pas vraiment précisé ce que cela signifie », explique Carlo Masala, professeur à l’université de la Bundeswehr à Munich, l’une des deux universités des forces armées allemandes.

Si l’on prend au sérieux la « raison d’état » de l’Allemagne, il y a des implications morales, politiques et, d’une certaine manière, constitutionnelles« , a déclaré l’expert en relations internationales lors d’une interview avec la chaîne nationale allemande ZDF.

Si l’existence d’Israël était réellement en jeu, ce qui n’est pas le cas actuellement, a précisé M. Masala, l’Allemagne serait obligée de « défendre activement » Israël, ce qui signifie un engagement militaire direct.

La « raison d’État » est une théorie juridique et un concept des relations internationales qui s’est développé au cours des siècles de la pensée politique occidentale, au fur et à mesure de l’évolution du rôle, des droits et des pouvoirs de l’État. Le dictionnaire Merriam-Webster la définit comme la « justification de la politique étrangère d’une nation sur la base de la primauté de ses propres intérêts« .

À cet égard, les intérêts nationaux de l’Allemagne sont liés à ceux d’un autre pays. C’est logique si l’on se place du point de vue de l’establishment politique allemand.

Ah bon ?

Bien que le mouvement sioniste soit antérieur à l’Allemagne nazie, l’Holocauste est la preuve la plus dévastatrice de son affirmation selon laquelle seule la souveraineté juive, sous la forme d’un État, peut protéger les Juifs.

Une justification morale et historique met cependant l’utilisation par l’Allemagne de la « raison d’État » en contradiction avec la signification juridique de ce terme.

« La raison d’État est toujours l’intérêt avant les valeurs », a déclaré Marietta Auer, directrice générale de l’Institut Max Planck d’Allemagne pour l’histoire et la théorie du droit, à DW. « C’est là que commence une grande partie de la complexité. Mais toute la complexité est éliminée parce qu’on ne fait que confondre les deux concepts. »

En d’autres termes, la protection de l’État d’Israël pourrait être une valeur allemande qui risque de saper les intérêts allemands, mais l’invocation de la « Staatsräson » par Mme Merkel en Israël en 2008 a mis fin à cette tension. Il s’agissait peut-être d’une théorie juridique bancale, mais en termes de politique, M. Auer a déclaré qu’il s’agissait d’une « décision intelligente » qui « simplifiait les choses ».

« Je n’ai pas à divulguer [les raisons] en tant que dirigeant d’un État », a expliqué le juriste. « Si je dis qu’il s’agit de l’intérêt de l’État, c’est tout. C’est tout. »

En effet, il n’y a rien besoin d’expliquer aux goyim.

En élevant la position de l’Allemagne sur Israël au rang de « raison d’État », le chef du gouvernement a réussi à mettre fin au débat, a déclaré Klaus Dieter Wolf, ancien professeur de relations internationales à l’université technique de Darmstadt.

« Je déclare qu’une certaine intention politique concrète est une « raison d’État » afin de la rendre intouchable en cas de contradiction », a déclaré M. Wolf, qui écrit sur les implications de la « Staatsräson », dans une réponse envoyée par courrier électronique à DW.

Cela a de « graves conséquences » pour la Realpolitik, a-t-il ajouté. Si un État peut simplement s’abstenir de respecter certains principes, il risque d’éroder ses autres engagements, tels que la démocratie, les droits de l’homme et le droit international.

Ces principes n’ont jamais été pensés pour les juifs et leur colonie, puisque ces principes ont été érigés en 1945 afin d’assurer leur domination.

C’est pour cela qu’Israël n’a jamais encouru la moindre sanction de la part de l’ONU, malgré les violations systématiques des règles imposées aux autres états du monde.

En voici un aperçu :

Assemblée générale (ayant alors fonction d’organe décisionnaire)

Résolution 181 (29 novembre 1947). Adoption du plan de partage : la Palestine est divisée en deux Etats indépendants, l’un arabe, l’autre juif, et Jérusalem est placée sous administration des Nations unies.

Résolution 194 (11 décembre 1948). Les réfugiés qui le souhaitent doivent pouvoir « rentrer dans leurs foyers le plus tôt possible et vivre en paix avec leurs voisins » ; les autres doivent être indemnisés de leurs biens « à titre de compensation ». Création de la commission de conciliation des Nations unies pour la Palestine.

Résolution 302 (8 décembre 1949). Création de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA).

Conseil de sécurité

Résolution 236 (11 juin 1967). Au lendemain de la guerre de juin 1967, le Conseil de sécurité exige un cessez-le-feu et un arrêt immédiat de toutes les activités militaires dans le conflit opposant l’Egypte, la Jordanie et la Syrie à Israël.

Résolution 237 (14 juin 1967). Le Conseil de sécurité demande à Israël d’assurer « la sûreté, le bien-être et la sécurité des habitants des zones où des opérations militaires ont eu lieu » et de faciliter le retour des réfugiés.

Résolution 242 (22 novembre 1967). Le Conseil de sécurité condamne l’« acquisition de territoire par la guerre » et demande le « retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés ». Il affirme « l’inviolabilité territoriale et l’indépendance politique » de chaque Etat de la région.

Résolution 250 (27 avril 1968). Israël est invité à ne pas organiser le défilé militaire prévu à Jérusalem le 2 mai 1968 considérant que cela aggraverait les « tensions dans la région ».

Résolution 251 (2 mai 1968). Le Conseil de sécurité déplore la tenue du défilé militaire de Jérusalem « au mépris » de la résolution 250.

Résolution 252 (21 mai 1968). Le Conseil de sécurité déclare « non valides » les mesures prises par Israël, y compris l’« expropriation de terres et de biens immobiliers », qui visent à « modifier le statut de Jérusalem », et demande à celui-ci de s’abstenir de prendre de telles mesures.

Résolution 267 (3 juillet 1969). Le Conseil de sécurité censure « toutes les mesures prises [par Israël] pour modifier le statut de Jérusalem ».

Résolution 340 (25 octobre 1973). A la suite de la guerre de Ramadan ou de Kippour, création de la deuxième Force d’urgence des Nations unies (FUNU-II) qui vise à « superviser le cessez-le-feu entre les forces égyptiennes et israéliennes » et à assurer le « redéploiement » de ces mêmes forces.

Résolution 446 (22 mars 1979). Le Conseil de sécurité exige l’arrêt des « pratiques israéliennes visant à établir des colonies de peuplement dans les territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés depuis 1967 », déclare que ces pratiques « n’ont aucune validité en droit » et demande à Israël de respecter la convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre.

Résolution 468 (8 mai 1980). Le Conseil de sécurité déclare « illégales » les expulsions à l’étranger de notables palestiniens de Hébron et de Halhoul par les autorités militaires israéliennes et demande à Israël de les annuler.

Résolution 592 (8 décembre 1986). Le Conseil de sécurité rappelle que la convention de Genève relative à la protection des civils en temps de guerre « est applicable aux territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés par Israël depuis 1967 ». Il condamne « l’armée israélienne qui, ayant ouvert le feu, a tué ou blessé des étudiants » de l’université Bir Zeit.

Résolution 605 (22 décembre 1987). Après le déclenchement de la première Intifada, le Conseil de sécurité condamne les pratiques d’Israël « qui violent les droits de l’homme du peuple palestinien dans les territoires occupés, en particulier le fait que l’armée israélienne a ouvert le feu, tuant ou blessant des civils palestiniens ».

Résolution 607 (5 janvier 1988). Israël doit « s’abstenir d’expulser des civils palestiniens des territoires occupés » et respecter les obligations que lui impose la convention de Genève.

Résolution 608 (14 janvier 1988). Le Conseil de sécurité demande à Israël « d’annuler l’ordre d’expulsion des civils palestiniens et d’assurer le retour immédiat et en toute sécurité » de tous ceux déjà expulsés.

Résolution 636 (6 juillet 1989). Le Conseil de sécurité demande à Israël, en conformité avec ses précédentes résolutions et avec la convention de Genève, de « cesser immédiatement d’expulser d’autres civils palestiniens » et d’assurer le retour en toute sécurité de ceux déjà expulsés.

Résolution 641 (30 août 1989). Le Conseil de sécurité « déplore qu’Israël, puissance occupante, continue d’expulser des civils palestiniens » et lui demande d’assurer le retour de tous les expulsés.

Résolution 672 (12 octobre 1990). Après les violences de l’esplanade des Mosquées – le mont du Temple, le Conseil de sécurité condamne « les actes de violence commis par les forces de sécurité israéliennes » à Al-Haram Al-Charif et dans d’autres lieux saints de Jérusalem et demande à Israël de « s’acquitter scrupuleusement des obligations juridiques et des responsabilités qui lui incombent » vis-à-vis des civils des territoires occupés.

Résolution 673 (24 octobre 1990). Le Conseil de sécurité condamne le refus d’Israël d’appliquer la résolution 672.

Résolution 681 (20 décembre 1990). Israël est sommé d’appliquer la convention de Genève.

Résolution 694 (24 mai 1991). Le Conseil de sécurité déclare que l’expulsion de quatre nouveaux civils palestiniens en mai 1991 par les forces israéliennes constitue une violation de la convention de Genève.

Résolution 799 (18 décembre 1992). Le Conseil de sécurité condamne les quatre cents expulsions de décembre 1992, soulignant qu’elle est contraire aux obligations internationales imposées à Israël par la convention de Genève. Le Conseil réaffirme l’indépendance et l’intégrité territoriale du Liban.

Résolution 904 (18 mars 1994). A la suite du massacre de la mosquée de Hébron, le Conseil de sécurité demande à Israël de prendre les mesures nécessaires « afin de prévenir des actes de violence illégaux de la part des colons israéliens » envers les civils palestiniens.

Résolution 1322 (7 octobre 2000). A la suite du début de la seconde Intifada, le Conseil de sécurité déplore les violences et condamne le « recours à la force excessif contre les Palestiniens ». Il demande à Israël de respecter ses obligations relatives à la convention de Genève.

Résolution 1397 (12 mars 2002). Le Conseil de sécurité demande la « cessation immédiate de tous les actes de violence, y compris tous les actes de terreur et toutes provocations, incitations et destructions », et réclame la coopération des Israéliens et des Palestiniens visant à la reprise des négociations.

Résolution 1402 (30 mars 2002). Après la réoccupation totale de la Cisjordanie, le Conseil de sécurité demande un cessez-le-feu immédiat et le « retrait des troupes israéliennes des villes palestiniennes ».

Résolution 1405 (19 avril 2002). Le Conseil de sécurité déclare qu’« il est urgent que les organismes médicaux et humanitaires aient accès à la population civile palestinienne ».

Résolution 1435 (24 septembre 2002). Le Conseil de sécurité exige « le retrait rapide des forces d’occupation israéliennes des villes palestiniennes ». Il demande à l’Autorité palestinienne de « faire traduire en justice les auteurs d’actes terroristes ».

Résolution 1515 (19 novembre 2003). Le Conseil de sécurité se déclare « attaché à la vision d’une région dans laquelle deux Etats, Israël et la Palestine, vivent côte à côte, à l’intérieur de frontières sûres et reconnues », et demande en conséquence aux parties en conflit de s’acquitter des obligations relatives à la « feuille de route » du Quartet.

Résolution 1544 (19 mai 2004). Le Conseil de sécurité demande qu’Israël respecte « les obligations que lui impose le droit humanitaire international » et « l’obligation qui lui est faite de ne pas se livrer aux destructions d’habitations ».

Résolution 1850 (16 décembre 2008). Le Conseil de sécurité soutient le processus d’Annapolis, et demande aux parties de « s’abstenir de toute mesure suceptible d’entamer la confiance » et de ne pas « remettre en cause l’issue des négociations ».

Résolution 1860 (8 janvier 2009). Après l’incursion de l’armée israélienne dans la bande de Gaza, le Conseil de sécurité exige « l’instauration immédiate d’un cessez-le-feu durable et pleinement respecté menant au retrait total des forces israéliennes de la bande de Gaza ». Il demande de ne pas entraver l’entrée des organisations médicales dans Gaza et d’empêcher le trafic illégal d’armes.

L’Allemagne post 8 mai 1945 incarne ce qu’est véritablement une « démocratie ».

La France ne devrait pas tarder.

L’idée de prêter serment de fidélité aux juifs et à leur état vise les migrants musulmans que le même pouvoir cosmopolite importe.

N’importe quel migrant du tiers-monde peut cracher sa haine de l’Allemagne ou des Blancs, cela n’entraîne jamais de sanctions. Exception est faite pour les juifs et leur colonie orientale.

Le but ici est de pouvoir retirer un passeport délivré à un ennemi des juifs, ou considéré comme tel, pour pouvoir maintenir le processus d’immigration de masse et de remplacement voulu par ces mêmes juifs.

C’est l’objectif concret de cette nouvelle exigence.

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Cette image fait fondre un plomb à la race criminelle juive /cette-image-fait-fondre-un-plomb-a-la-race-criminelle-juive/ Wed, 06 Dec 2023 09:44:30 +0000 /?p=84258 La rédaction
Démocratie Participative
06 décembre 2023

 

Pour une raison que les juifs ne veulent pas expliquer, cette image les plonge dans une haine encore plus fanatique que d’ordinaire.

Le juif Goldnadel convulse.

Le problème de cette image, c’est qu’elle est factuelle.

Les juifs ont effectivement assassiné Jésus de Nazareth après un vote populaire.

Ils tuent également de très nombreux civils à Gaza, de préférence des enfants.

Alors, pourquoi les juifs veulent-ils poursuivre devant leurs tribunaux rabbiniques ceux qui constatent ces deux vérités ?

Les juifs, en général, n’estiment pas nécessaire de s’expliquer. Ils disent simplement que c’est « antisémite ».

Les juifs ont théorisé l’idée qu’ils ne peuvent être coupables de rien du seul fait de leur origine raciale. C’est leur bouclier d’immunité et d’impunité et le mythe de l’holocauste en est le fondement.

En parallèle, ils s’estiment en droit de faire le procès des autres, sur tous les sujets. Et les tuer, comme en Palestine occupée.

La duplicité mensongère des juifs associée à leurs jérémiades est ce qui en fait la race la plus puante de cette terre.

Ce peuple pue, il n’y a rien à en dire de plus.

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Plein de vin à 7 heures du matin, Gérard Larcher dit à Abou Youssouf al Melenchoni de « fermer sa gueule » à propos du pouvoir juif qui contrôle la France /plein-de-vin-a-7-heure-du-matin-gerard-larcher-dit-a-abou-youssouf-al-melenchoni-de-fermer-sa-gueule-a-propos-du-pouvoir-juif-qui-controle-la-france/ Wed, 06 Dec 2023 09:19:54 +0000 /?p=84254 La rédaction
Démocratie Participative
06 décembre 2023

 

Le gras Gérard Larcher est apparu très empourpré de vin ce matin sur RTL, gesticulant vivement à propos de la juive Elkrief et de son algarade avec Abou Youssouf al Melenchoni.

Il a repris la ligne désormais officielle du régime : quiconque fait de l’ombre à la domination juive se met « en dehors de l’arc républicain ». Visiblement très échauffé par ses trois quarts de litre matinaux, il a enjoint Abou Youssouf à « fermer sa gueule ».

La question juive est la seule chose qui paraît susceptible de sortir le porcin Larcher de sa placidité habituelle.

C’est le roi des sénateurs, lesquels ne foutent rien sinon empocher, bouffer et sortir en ville avec leurs maîtresses – souvent maghrébines.

Ce sénat est une banque, un restaurant, un lupanar. Personne ne sait ce qui s’y passe, ni l’ampleur des montages de corruption qu’il supervise.

À l’évidence, on supprimerait le sénat demain matin que personne ne le remarquerait.

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Le Venezuela très foncé annonce l’annexion de la moitié du Guyana encore plus foncé /le-venezuela-tres-fonce-annonce-lannexion-de-la-moitie-du-guyana-encore-plus-fonce/ Wed, 06 Dec 2023 07:14:19 +0000 /?p=84246 La rédaction
Démocratie Participative
06 décembre 2023

 

Le Venezuela communiste a décidé d’annexer la moitié du territoire du Guyana, un état factice local.

Le juif Maduro a besoin de sous. Deux décennies de démagogie marxiste, au début financée par le pétrole lorsque son cours était au plus haut, ont transformé le Venezuela en friche. Plus de 7 millions de gens ont fui le pays.

C’est donc l’occasion de faire main basse sur les réserves du voisin dont le pétrole est de bien meilleure qualité.

Pour aller détrousser le Guyana, et incidemment les boîtes américaines qui exploitent actuellement ces ressources, Maduro doit envoyer l’armée occuper le terrain.

Nos forces armées nationales bolivariennes participent activement à l’opération Référendum consultatif de la République 2023, Venezuela, pour défendre l’Essequibo. NOUS GAGNERONS !

Le Guyana fait la moitié de la superficie de la France pour une population de 750,000 habitants, dont 30% de noirs, 40% d’indiens, 10% de sauvages autochtones, le reste étant un maelstrom racial issu de l’absorption des colons européens par la masse marron dravidienne. Il y a 7% de musulmans au Guyana parce que dans ce lot d’indiens se trouvent des pakistanais.

C’est donc un « pays » qui se situe à mi-chemin entre Tombouctou et New Delhi.

Si vous vous demandez pourquoi 40% d’indiens sont plantés au milieu de ce territoire d’Amérique latine, la réponse est simple : pour la même raison que 17 millions de gens marron sont plantés en France en 2023.

La cupidité universelle des capitalistes blancs.

Hollandais et Anglais n’ont rien trouvé de mieux à faire que d’importer des nègres d’Afrique pour travailler dans leurs plantations. Avec l’abolition de l’esclavage, au 19e siècle, la cour d’Angleterre est allée puiser dans le réservoir de basse humanité qu’est le sous-continent indien.

Avec des résultats extraordinaires.

Vous remarquerez qu’on ne peut absolument pas discerner la population du Guyana de celle de Seine-Saint-Denis.

Dans 30 ans, quand on regardera la France comme nous regardons le Guyana avec sa canne à sucre obsolète, en se demandant pourquoi une clique de profiteurs a préféré créer l’enfer racial sur terre pour « payer les retraites » plutôt que de modérer sa voracité.

Quoi qu’il en soit, Maduro et ses 200,000 hommes n’ont qu’à bien se tenir.

Le Guyana est le Wakanda de l’Amérique du Sud, elle dispose d’une armée de 5,000 SUPER SOLDATS.

Ce sera une promenade de santé pour les KÉMITES.

Les soldats guyanais sont prêts à faire leur devoir et à consentir le sacrifice ultime.

Ils font face à des obstacles impossibles à surmonter. La Guyane a une armée de 5 000 hommes. Le Venezuela en compte 200 000.

Le monde ne peut pas rester les bras croisés et laisser mourir des Guyanais innocents. Le Venezuela est un État communiste allié à l’Iran et à la Russie.

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« C’est les blédards ! » : cette beurette s’adresse aux harceleurs de rue /cest-les-bledards-cette-beurette-sadresse-aux-harceleurs-de-rue/ Tue, 05 Dec 2023 20:02:39 +0000 /?p=84243 Sigmar Polaris
Démocratie Participative
05 décembre 2023

 

Il faut diffuser sur France Inter !

@nesprod0c’est à notre tour de parler maintenant♬ son original – Nes Prod

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Les campeurs de Tsahal littéralement explosés par le Hamas /les-campeurs-de-tsahal-litteralement-exploses-par-le-hamas/ Tue, 05 Dec 2023 18:02:57 +0000 /?p=84239 La rédaction
Démocratie Participative
05 décembre 2023

 

Tous les amateurs de Counter Strike savent que les campeurs méritent vraiment de très longues souffrance.

Le Hamas non plus n’aime pas les campeurs. Il peut surgir au milieu d’eux, par le sol, et tout faire sauter.

Le lieu de l’attaque était Juhr al-Dik, au sud de la ville de Gaza.

Le fantôme de Kiev était bidon, en revanche ceux de Gaza existent.

La situation ne se déroule pas comme prévu pour les juifs. Après deux mois de bombardements intensifs de civils avec l’aide de l’OTAN, les juifs ne progressent pas à Gaza.

Pire, les combattants palestiniens démontrent non seulement une grande détermination, mais une capacité à frapper derrière les lignes juives au point où cela en devient ridicule.

Ils ne peuvent que bombarder des écoles ou des hôpitaux et essayer de planter un drapeau sur les ruines. Dès qu’il s’agit de se battre, ces juifs cessent d’avancer.

C’est d’autant plus humiliant que les palestiniens de Gaza sont enfermés dans une ville complètement bouclée par les juifs, dépourvus d’armes lourdes ou de soutien moderne. Ce sont des hommes en jogging avec des AK-47 et des RPG. Tout le reste est le fruit de leur inventivité, grâce aux conseils des forces spéciales iraniennes.

Le plus odieux est que cette race soit à la tête du monde occidental, infiltrée dans les banques, les médias, les partis, les gouvernements.

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Le gouvernement anglais reconnaît que 70,000 soldats russes sont morts pour 280,000 Ukrainiens tués /le-gouvernement-anglais-reconnait-que-70000-soldats-russes-sont-morts-pour-280000-ukrainiens-tues/ Tue, 05 Dec 2023 16:57:08 +0000 /?p=84234 La rédaction
Démocratie Participative
05 décembre 2023

 

Le ministère de la défense britannique a publié son estimation des pertes russes au bout de 20 mois de guerre. D’après le gouvernement britannique, 50,000 soldats russes et 20,000 mercenaires, notamment des prisonniers volontaires, sont morts.

C’est très éloignés des pertes clamées ici et là depuis le début de la guerre par la propagande occidentale.

Pour prendre un peu de recul, entre 1941 et 1945, les Russes perdaient en moyenne 500,000 tués par mois.

En parallèle, les médias ne disent rien des pertes ukrainiennes.

Arestovitch, l’ancien conseiller de Zelensky, a reconnu entre « 200,000 et 300,000 » morts côté ukrainien.

Aveu d’Arestovich, ex-conseiller de Zelensky et membre du groupe de négociation : « La partie russe insistait toujours sur les initiatives de paix. Et les initiatives de paix d’Istanbul étaient très bonnes, un document intermédiaire… Aujourd’hui, 200 à 300 000 personnes seraient probablement en vie et la moitié de l’Ukraine ne serait pas détruite et minée… Ils ont accepté des discussions politiques sur la Crimée… Nous avons fait des concessions, mais le montant de leurs concessions était plus élevé. Nous avons fait des concessions, mais le montant de leurs concessions était plus élevé. Cela ne se reproduira jamais, ils insisteront de plus en plus.

Ce chiffre correspond aux données officielles publiées par la Russie.

L’armée russe évalue le nombre de pertes ukrainiennes à 215,000 soldats tués auxquels il faut additionner plus de 62,000 disparus et prisonniers. S’y ajoute près de 250,000 blessés incapables de retourner au front, soit un total de 537,000 hommes.

💀 Mise à jour des pertes en Ukraine

Les forces armées ukrainiennes ont perdu plus de 125 000 personnes et 16 000 unités d’armes diverses au cours de la contre-offensive ratée de six mois, a déclaré M. Shoigu.

Le total des pertes irrémédiables s’élève à 537 000 personnes, soit environ 2 % de la population totale de l’Ukraine à l’horizon 2024.

Ces « 2% » de la population sont théoriques, puisque la Russie considère que la population ukrainienne est de 42 millions d’habitants, soit le chiffre officiel en 2022.

En réalité, plusieurs millions d’Ukrainiens vivaient déjà à l’étranger avant le début de la guerre, ce qui portait la population réelle à environ 40 millions d’habitants. Après le déclenchement des hostilités, pratiquement toutes les femmes en âge d’avoir des enfants ont quitté le pays, soit 8 millions de réfugiés vers l’Europe et l’Amérique, et 2 millions vers la Russie.

Au reste, la Russie avait déjà annexé la Crimée en 2015, amputant l’Ukraine de 2,6 millions d’habitants. Il faut y ajouter les régions de Donetsk et Luhansk (6 millions) sous contrôle russe depuis 2014.

L’assaut de 2022 a ajouté Kherson (1 million) et Zaporizhia (1,6 million) à la Fédération de Russie. Une partie est partie à l’ouest du pays, mais pas l’ensemble.

Au total, ces pertes territoriales ont coûté près de 10 millions d’habitants supplémentaires.

Des 40 millions théoriques, l’Ukraine est passée à une population réelle de 21 ou 22 millions d’habitants. C’est dans cette réserve que Zelensky puise pour sa guerre, face à une Russie qui dispose d’une population 7 fois plus large.

En deux ans, un demi million d’hommes sont déjà perdus. Si le ratio de tués est de 1 pour 4 au détriment de l’Ukraine, le pays ne pourra pas soutenir le rythme imposé par la Russie.

Les planificateurs de l’OTAN le savent.

L’ouverture du front au Proche-Orient change fondamentalement la situation stratégique pour Washington. L’OTAN n’a pas les moyens d’alimenter deux guerres régionales et doit temporiser. C’est la raison de la publication de ces « mauvaises nouvelles », il s’agit de créer le cadre de négociations en vue d’une trêve.

Mais ce calcul repose sur une erreur fondamentale : le complexe de supériorité américain, et occidental, face à la Russie. Ces gens pensent que les Russes souhaitent des négociations à tout prix, pour peu qu’on y mette les formes.

Que se passerait-il si les Russes ne négocient rien et, au contraire, intensifient leurs opérations ?

Ce serait une défaite catastrophique des États-Unis et de l’OTAN, qui malgré leur poids économique et technologique théorique, auront été battus par un état sous embargo.

Les états européens cesseraient de croire que l’Amérique peut garantir leur sécurité et un certain nombre d’entre eux chercheraient un accord avec la Russie.

Pour l’OTAN, la seule façon d’empêcher cela est d’entrer en Ukraine directement.

Peu d’états en sont demandeurs, à l’exception des Britanniques, des polonais, d’une faction au sein du gouvernement français.

Il faudrait à ces gens, et à leurs maîtres à Washington, concocter quelque chose d’extraordinaire pour justifier une telle intervention.

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GTA 6 fait le choix de l’hyper réalisme /gta-6-fait-le-choix-de-lhyper-realisme/ Tue, 05 Dec 2023 10:49:10 +0000 /?p=84230 La rédaction
Démocratie Participative
05 décembre 2023

 

GTA 6 va sortir, il colle à la démographie du public qui doit théoriquement l’acheter avec ses aides sociales, que ce soit aux USA ou en France. Des noirs, des mulâtres, des orientaux défoncés au shit.

Il est aussi très réaliste. On ne distingue plus GTA d’une ville américaine.

Pour des Blancs encore fonctionnels cognitivement, ce zoo digital ressemble à un enfer.

En revanche, pour n’importe quel basané c’est exactement ce à quoi ressemble une société idéale : une tribu africaine, mais avec des voitures, des putes et des flingues.

Les boomers mettent souvent la violence sur le compte des jeux vidéos. Avant c’était faux, parce qu’avant, dans nos pays, les gens étaient blancs, mais aujourd’hui, avec GTA, on peut dire que les noirs et les arabes s’entraînent effectivement sur cette plateforme avant de commettre un braquage ou un règlement de comptes.

Ou plutôt, ils se motivent.

GTA, c’est simplement le monde ouvert de Scarface, le film préféré de tout maghrébin qui se respecte.

Un algérien regarde pour la première fois Scarface et il veut ensuite devenir Tony Montana.

Hélas pour eux, la réalité les rattrape, au pied de leur HLM, et ils doivent se contenter de tuer un autre arabe pour une poignée d’euros.

Leur gloire dure 10 minutes.

La petite contrepartie, c’est que l’on peut virtuellement tuer un maximum de nègres dans GTA.

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